lundi 24 janvier 2011

Vous lisez bien... Une copine.

Je tombe de haut, je me dis que lui aussi, etc...

Mais il insiste pour qu'on se repenne, c'est-à-dire, en sa faveur, il ne joue pas de jeu malsain avec moi : il ne se passe plus rien.

Mais trop deg de cette confession de Nico, je rechope des mecs comme ça et puis un dont je me dis c'est le bon.

Classe, créateur d'entreprise, dynamique, j'ai aimé son côté fonceur, intelligent, ses idées, son envie de faire quelque chose, de bouger...

Je crois qu'après pas mal d'expérience foireuse, j'ai craqué pour un mec pas foireux.

Mais il l'était quand même, foireux. D'abord, obsedé par son boulot, ses projets, moi je passais après. Ensuite, il me voulait pomponnée arrangée, pas du tout que je me réalise ou quoque ce soit, J'essayais parallèlement de trovuer un boulot qui me plaise vraiment, j'ai cru qu'il pourrait m'aider, disons le mot, me faire vivre pendant que je cherchais. J'avais le chômage, je m'en sourtais, mais j'ai vite compris : il craignait que je ne m'incruste, que je sois une charge. La baffe. Il n'a pas compris que je voulais vraiment travailler.

Ça m'a vexé et j'ai fait en sorte de ne plus évoquer la possiblité que nous vivions ensemble et que ça me soutienne matériellement, en plus du chômage. Il a été rassuré et one st sorti ensemble, mais de mon côté il y avait quelque chose de factice.

Je ne l'ai pas quitté au moment où j'ai eu ce problème de crainte qu'il ne se dise que je ne sortais avec lui que pour ça. Mais sa façon de me traiter, de jouer les propriétaires avec moi devant ses potes ( exemple : la main au cul, palper le cul en public, pendant qu'il parle avec eux, histoire de bien montrer que je suis à lui, mais d'un autre côté toute relation un peu approfondie est impossible), ça a fini par me déplaire.

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