vendredi 17 septembre 2010

Dingue

Je lis ça et franchement c'est fou !

lundi 9 août 2010

je suis sortie avec le blond, finalement, qui était un vrai con. Et Nicolas le savait, il le savait, s'est effacé, s'en foutait à vrai dire et quand j'ei été commme une idiote triste à cause du blond, il a refait surface et m'a consolé. Soirée de ouf à jouer au Trivial car c'est le jeu préféré de Nicolas. Normalement je déteste.

mardi 20 juillet 2010

Mon enfant, ma soeur,
Songe à la douceur
D'aller là-bas vivre ensemble !
Aimer à loisir,
Aimer et mourir
Au pays qui te ressemble !
Les soleils mouillés
De ces ciels brouillés
Pour mon esprit ont les charmes
Si mystérieux
De tes traîtres yeux,
Brillant à travers leurs larmes.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Des meubles luisants,
Polis par les ans,
Décoreraient notre chambre ;
Les plus rares fleurs
Mêlant leurs odeurs
Aux vagues senteurs de l'ambre,
Les riches plafonds,
Les miroirs profonds,
La splendeur orientale,
Tout y parlerait
À l'âme en secret
Sa douce langue natale.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Vois sur ces canaux
Dormir ces vaisseaux
Dont l'humeur est vagabonde ;
C'est pour assouvir
Ton moindre désir
Qu'ils viennent du bout du monde.
- Les soleils couchants
Revêtent les champs,
Les canaux, la ville entière,
D'hyacinthe et d'or ;
Le monde s'endort
Dans une chaude lumière.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

mardi 6 juillet 2010

Ce soir là, les gens sont partis peu à peu, j'avais trouvé un grand mec blond barbu sympa, mais il y avait ce Nico, étrange. Je ne voulais pas passer à côté de Nico, mais je sentais bien le blond.

Du coup on s'est tous retrouvé dans l'invraisemblable fiat d'un pote, serrée comme des sardines et bourrés. Le pote nous débarque, file chez lui, et là, que fait-on ? On part dans la rue en after, en riant, on trouve un bar on s'installe. Tout ce que je voulais, c'était le blond, mais le tel de Nico. mais impossible de dire ça, neutralisée paralysée par le doux regard de Nico.

Il m'a fallu trois heures.

samedi 3 juillet 2010

Elle me présente Nico parce qu'il est en fait assis à côté de moi. Bonjour, fais-je, bonjour, fait-il. Quand j'y repense. Voilà, c'est tout. On se connait, quoi.

Une semaine après, ou deux, je ne sais plus, dans une soirée d'une copine de Sandra (mais Sandra n'était pas là, juste la fille m'a invité... je ne sais pas pourquoi, pour faire nombre, j'ai eu l'impression), un mec. Je le connais. Il me regarde on se regarde, c'est Nico. Ah, salut. Il va me chercher un verre, on discute, on dit des bêtises, on est morts de rire, ne demande PAS pourquoi.

Puis il part je ne sais où, vaque, et, chaque fois qu'il pqsse, il me fait un petit coucou gentil, et même un petit bec sur la fin.

Une grande tendresse est née entre nous, on ne s'explique pas. Ce jour là, à ce moment.

vendredi 25 juin 2010

Aller se promener, c'est toujours bien. Il parait que la mqrche est l'un des meilleurs sports, à la portée de tous, sympas, facile. J'aime, perso.

mercredi 16 juin 2010

Voici venu le temps de parler de Nico. Mon Nico.

Nico c'est le mec rencontré en fac, je t'explique.
En bibliothèque de la fac, peu importe laquelle, lors des exams de décembre. Après trois mois un peu seule car on est timide chez moi, oui. Une nana me fonce dessus et s'écrie : Manon ! Je la regarde, Connais pas. Elle me parle et m'explique et en effet, on s'était drôlement marré lors d'un oral l'année d'avant, en attendant, en parlant pour tromper le stress. Elle s'appelle Sandra et elle me présente Nico.

dimanche 9 mai 2010

Le vent avait chassé la pluie aux larges gouttes,
Le soleil s'étalait, radieux, dans les airs,
Et les bois, secouant la fraîcheur de leurs voûtes,
Semblaient, par les vallons, plus touffus et plus verts !

Je montai jusqu'au temple accroché sur l'abîme ;
Un bonze m'accueillit, un bonze aux yeux baissés.
Là, dans les profondeurs de la raison sublime,
J'ai rompu le lien de mes désirs passés.

Nos deux voix se taisaient, à tout rendre inhabiles ;
J'écoutais les oiseaux fuir dans l'immensité ;
Je regardais les fleurs, comme nous immobiles,
Et mon coeur comprenait la grande vérité !