je le nomme, il s'appelle Julien.
le problème c'est que d'une certaine façon j'aimais ça, d'une autre non. Je ne l'ai donc pas quitté tout de suite : j'aimais les sorties, sa possessivité, dans ce que ça a de sensuel et d'excitant, comme une annonce de la nuit qu'on va passer, mais pas dans son aspect social.
Il était beau et j'aimais son corps, mais je me suis rendue compte après qu'il trouvait que j'étais un peu hot et qu'il me présentait un peu comme sa copine du moment avec feu au cul, mais le jour venu, "pas de ça".
Quand j'ai appris ça, j'ai pleuré.. mais il a bien fallu que je le quitte. C'était trop dur. Son attitude me l'a confirmé.
Au passage : c'est gràce à lui que je suis plus réservée au lit maintenant. Qui sait ce que les mecs vont penser de mon enthousiasme, en particuler, pour certaine partie de leur anatomie ?
dimanche 30 janvier 2011
mardi 25 janvier 2011
lundi 24 janvier 2011
Vous lisez bien... Une copine.
Je tombe de haut, je me dis que lui aussi, etc...
Mais il insiste pour qu'on se repenne, c'est-à-dire, en sa faveur, il ne joue pas de jeu malsain avec moi : il ne se passe plus rien.
Mais trop deg de cette confession de Nico, je rechope des mecs comme ça et puis un dont je me dis c'est le bon.
Classe, créateur d'entreprise, dynamique, j'ai aimé son côté fonceur, intelligent, ses idées, son envie de faire quelque chose, de bouger...
Je crois qu'après pas mal d'expérience foireuse, j'ai craqué pour un mec pas foireux.
Mais il l'était quand même, foireux. D'abord, obsedé par son boulot, ses projets, moi je passais après. Ensuite, il me voulait pomponnée arrangée, pas du tout que je me réalise ou quoque ce soit, J'essayais parallèlement de trovuer un boulot qui me plaise vraiment, j'ai cru qu'il pourrait m'aider, disons le mot, me faire vivre pendant que je cherchais. J'avais le chômage, je m'en sourtais, mais j'ai vite compris : il craignait que je ne m'incruste, que je sois une charge. La baffe. Il n'a pas compris que je voulais vraiment travailler.
Ça m'a vexé et j'ai fait en sorte de ne plus évoquer la possiblité que nous vivions ensemble et que ça me soutienne matériellement, en plus du chômage. Il a été rassuré et one st sorti ensemble, mais de mon côté il y avait quelque chose de factice.
Je ne l'ai pas quitté au moment où j'ai eu ce problème de crainte qu'il ne se dise que je ne sortais avec lui que pour ça. Mais sa façon de me traiter, de jouer les propriétaires avec moi devant ses potes ( exemple : la main au cul, palper le cul en public, pendant qu'il parle avec eux, histoire de bien montrer que je suis à lui, mais d'un autre côté toute relation un peu approfondie est impossible), ça a fini par me déplaire.
Je tombe de haut, je me dis que lui aussi, etc...
Mais il insiste pour qu'on se repenne, c'est-à-dire, en sa faveur, il ne joue pas de jeu malsain avec moi : il ne se passe plus rien.
Mais trop deg de cette confession de Nico, je rechope des mecs comme ça et puis un dont je me dis c'est le bon.
Classe, créateur d'entreprise, dynamique, j'ai aimé son côté fonceur, intelligent, ses idées, son envie de faire quelque chose, de bouger...
Je crois qu'après pas mal d'expérience foireuse, j'ai craqué pour un mec pas foireux.
Mais il l'était quand même, foireux. D'abord, obsedé par son boulot, ses projets, moi je passais après. Ensuite, il me voulait pomponnée arrangée, pas du tout que je me réalise ou quoque ce soit, J'essayais parallèlement de trovuer un boulot qui me plaise vraiment, j'ai cru qu'il pourrait m'aider, disons le mot, me faire vivre pendant que je cherchais. J'avais le chômage, je m'en sourtais, mais j'ai vite compris : il craignait que je ne m'incruste, que je sois une charge. La baffe. Il n'a pas compris que je voulais vraiment travailler.
Ça m'a vexé et j'ai fait en sorte de ne plus évoquer la possiblité que nous vivions ensemble et que ça me soutienne matériellement, en plus du chômage. Il a été rassuré et one st sorti ensemble, mais de mon côté il y avait quelque chose de factice.
Je ne l'ai pas quitté au moment où j'ai eu ce problème de crainte qu'il ne se dise que je ne sortais avec lui que pour ça. Mais sa façon de me traiter, de jouer les propriétaires avec moi devant ses potes ( exemple : la main au cul, palper le cul en public, pendant qu'il parle avec eux, histoire de bien montrer que je suis à lui, mais d'un autre côté toute relation un peu approfondie est impossible), ça a fini par me déplaire.
jeudi 20 janvier 2011
Je reprends. Donc ce Nico qui me console du grand blod stupide. Plusieurs soirées vraiment chouettes avec Nicolas, gentil, attentionné. Forcément advient ce qui devait advenir.
Sauf que là, Nico m'avoue entre les draps froissés après une nuit de folie comme rarement j'en ai connue, une nuit à, sans rire, en redemander sans cesse qu'il doit être franc avec moi. Il m'apprécie mais ce ne serait pas honète de continuer ainsi car il a une copine.
Sauf que là, Nico m'avoue entre les draps froissés après une nuit de folie comme rarement j'en ai connue, une nuit à, sans rire, en redemander sans cesse qu'il doit être franc avec moi. Il m'apprécie mais ce ne serait pas honète de continuer ainsi car il a une copine.
jeudi 13 janvier 2011
On n'y peut rien finalement si on craque pour un mec et qu'il s'avère con ou stupide. Dans la lsites de mes amours retombées sur terre la lsite est longue des abrutis finis que j'ai découvert, une fois le charme retombé.
Je me demande mème s'il n'y a pas un vice caché là dedans. Le plaisir de sortir avec de vrais connards.
Je me demande mème s'il n'y a pas un vice caché là dedans. Le plaisir de sortir avec de vrais connards.
lundi 3 janvier 2011
Dans la course aux performances des super-calculateurs, la Chine a vraisemblablement détrôné, jeudi 28 octobre, les Etats-Unis. Conçu par deux cents ingénieurs, le Tianhe-1A ("voix lactée") est un superordinateur hébergé au National Center for Supercomputing, dans la ville de Tianjin, dans le nord-est de la Chine.
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Le système a une capacité de 2,507 pétaflops par seconde, soit l'équivalent de 2,5 millions de milliards d'opérations par seconde. Jusqu'à présent, c'était le système Jaguar, du département de l'énergie américain, qui disposait de la plus grande puissance de calcul, avec 1,75 pétaflops par seconde.
Le supercalculateur Tianhe-1A peut être utilisé dans de nombreux domaines, de la météorologie, à la recherche médicale. Il dispose de microprocesseurs Intel, de processeurs graphiques Nvidia, et de nouveaux processeurs conçus par les ingénieurs chinois, baptisés "FeiTeng-1000".
Avec ce nouveau superodinateur, la Chine se place pour la première fois devant les Etats-Unis. Cette course à la puissance est d'ailleurs devenue une priorité nationale, avec le lancement d'un vaste plan pour les technologies innovantes lancé en 2006 par les autorités chinoises.
Dans le classement mondial des cinq cents ordinateurs les plus puissants paru au mois de juin, la Chine avait déjà beaucoup progressé au niveau mondial, plaçant une de ses machines en deuxième position. Mis au point dans le centre national de Shenzhen, dans le sud de la Chine, Nebulae est utilisé pour des calculs scientifiques et le séquençage de gènes.
En juin, la Chine compte vingt-quatre machines dans le top 500, dont deux aux dix premières places. Et, si les Etats-Unis ne sont plus en tête, ils étaient largement présents, avec deux cent quatre-vingt-deux systèmes. Ces machines utilisent majoritairement des systèmes d'exploitation Linux.
Le prochain classement doit être dévoilé au mois de novembre.
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Le système a une capacité de 2,507 pétaflops par seconde, soit l'équivalent de 2,5 millions de milliards d'opérations par seconde. Jusqu'à présent, c'était le système Jaguar, du département de l'énergie américain, qui disposait de la plus grande puissance de calcul, avec 1,75 pétaflops par seconde.
Le supercalculateur Tianhe-1A peut être utilisé dans de nombreux domaines, de la météorologie, à la recherche médicale. Il dispose de microprocesseurs Intel, de processeurs graphiques Nvidia, et de nouveaux processeurs conçus par les ingénieurs chinois, baptisés "FeiTeng-1000".
Avec ce nouveau superodinateur, la Chine se place pour la première fois devant les Etats-Unis. Cette course à la puissance est d'ailleurs devenue une priorité nationale, avec le lancement d'un vaste plan pour les technologies innovantes lancé en 2006 par les autorités chinoises.
Dans le classement mondial des cinq cents ordinateurs les plus puissants paru au mois de juin, la Chine avait déjà beaucoup progressé au niveau mondial, plaçant une de ses machines en deuxième position. Mis au point dans le centre national de Shenzhen, dans le sud de la Chine, Nebulae est utilisé pour des calculs scientifiques et le séquençage de gènes.
En juin, la Chine compte vingt-quatre machines dans le top 500, dont deux aux dix premières places. Et, si les Etats-Unis ne sont plus en tête, ils étaient largement présents, avec deux cent quatre-vingt-deux systèmes. Ces machines utilisent majoritairement des systèmes d'exploitation Linux.
Le prochain classement doit être dévoilé au mois de novembre.
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