Mon enfant, ma soeur,
Songe à la douceur
D'aller là-bas vivre ensemble !
Aimer à loisir,
Aimer et mourir
Au pays qui te ressemble !
Les soleils mouillés
De ces ciels brouillés
Pour mon esprit ont les charmes
Si mystérieux
De tes traîtres yeux,
Brillant à travers leurs larmes.
Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.
Des meubles luisants,
Polis par les ans,
Décoreraient notre chambre ;
Les plus rares fleurs
Mêlant leurs odeurs
Aux vagues senteurs de l'ambre,
Les riches plafonds,
Les miroirs profonds,
La splendeur orientale,
Tout y parlerait
À l'âme en secret
Sa douce langue natale.
Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.
Vois sur ces canaux
Dormir ces vaisseaux
Dont l'humeur est vagabonde ;
C'est pour assouvir
Ton moindre désir
Qu'ils viennent du bout du monde.
- Les soleils couchants
Revêtent les champs,
Les canaux, la ville entière,
D'hyacinthe et d'or ;
Le monde s'endort
Dans une chaude lumière.
Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.
mardi 20 juillet 2010
mardi 6 juillet 2010
Ce soir là, les gens sont partis peu à peu, j'avais trouvé un grand mec blond barbu sympa, mais il y avait ce Nico, étrange. Je ne voulais pas passer à côté de Nico, mais je sentais bien le blond.
Du coup on s'est tous retrouvé dans l'invraisemblable fiat d'un pote, serrée comme des sardines et bourrés. Le pote nous débarque, file chez lui, et là, que fait-on ? On part dans la rue en after, en riant, on trouve un bar on s'installe. Tout ce que je voulais, c'était le blond, mais le tel de Nico. mais impossible de dire ça, neutralisée paralysée par le doux regard de Nico.
Il m'a fallu trois heures.
Du coup on s'est tous retrouvé dans l'invraisemblable fiat d'un pote, serrée comme des sardines et bourrés. Le pote nous débarque, file chez lui, et là, que fait-on ? On part dans la rue en after, en riant, on trouve un bar on s'installe. Tout ce que je voulais, c'était le blond, mais le tel de Nico. mais impossible de dire ça, neutralisée paralysée par le doux regard de Nico.
Il m'a fallu trois heures.
samedi 3 juillet 2010
Elle me présente Nico parce qu'il est en fait assis à côté de moi. Bonjour, fais-je, bonjour, fait-il. Quand j'y repense. Voilà, c'est tout. On se connait, quoi.
Une semaine après, ou deux, je ne sais plus, dans une soirée d'une copine de Sandra (mais Sandra n'était pas là, juste la fille m'a invité... je ne sais pas pourquoi, pour faire nombre, j'ai eu l'impression), un mec. Je le connais. Il me regarde on se regarde, c'est Nico. Ah, salut. Il va me chercher un verre, on discute, on dit des bêtises, on est morts de rire, ne demande PAS pourquoi.
Puis il part je ne sais où, vaque, et, chaque fois qu'il pqsse, il me fait un petit coucou gentil, et même un petit bec sur la fin.
Une grande tendresse est née entre nous, on ne s'explique pas. Ce jour là, à ce moment.
Une semaine après, ou deux, je ne sais plus, dans une soirée d'une copine de Sandra (mais Sandra n'était pas là, juste la fille m'a invité... je ne sais pas pourquoi, pour faire nombre, j'ai eu l'impression), un mec. Je le connais. Il me regarde on se regarde, c'est Nico. Ah, salut. Il va me chercher un verre, on discute, on dit des bêtises, on est morts de rire, ne demande PAS pourquoi.
Puis il part je ne sais où, vaque, et, chaque fois qu'il pqsse, il me fait un petit coucou gentil, et même un petit bec sur la fin.
Une grande tendresse est née entre nous, on ne s'explique pas. Ce jour là, à ce moment.
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